L'UNACS dépose plainte contre la société SURGISPHERE
Me LUDOT déposé plainte pour le compte de l'association UNACS contre la société SURGISPHERE basée aux Etats-Unis.
"S’agissant de la décision obtenue par les fans de Mickaël JACKSON : j’ai travaillé de manière désintéressée compte tenu du caractère exceptionnel de cette procédure.
Cette décision est une première mondiale." Me LUDOT Emmanuel
Me LUDOT déposé plainte pour le compte de l'association UNACS contre la société SURGISPHERE basée aux Etats-Unis.
Le Rémois Emmanuel Ludot est l’avocat d’Ivo Magalhaes, employé de la station essence Avia de Villers-Cotterêts, dans l’Aisne, braquée, le 8 janvier 2015, par les frères Kouachi au lendemain du massacre de Charlie Hebdo. Si le pompiste s’en est sorti indemne physiquement, ce ne fut pas le cas psychologiquement. En janvier 2019, il publie un livre, dans lequel il écrit : « Ils m’ont tué intérieurement. » Aujourd’hui, il va un peu mieux et attend que toute la lumière soit faite sur les faits, que les responsabilités des uns et des autres soient clairement établies. « Il attend avec impatience le procès qui doit s’ouvrir en septembre où il pourra enfin parler », explique Me Ludot. « Il a des choses à dire sur le comportement des gendarmes et du GIGN. À peine leur avait-il donné les images de surveillance qu’elles ont été diffusées sur BFM. Il n’a pas été pris au sérieux alors qu’il avait des éléments sur la direction prise par les terroristes. »
En attendant, Ivo Magalhaes, par le biais de son avocat, attaque au civil, Charlie Hebdo. Au motif que le journal satirique qui a récolté 12 M € de recettes provenant de la vente du « numéro des survivants », sorti une semaine après la tuerie, n’a finalement pas reversé l’intégralité de ce bénéfice aux familles des victimes, conformément à certains propos tenus à l’époque. Cette annonce fait suite à l’ordonnance de non-lieu que vient de rendre un juge d’instruction parisien dans une procédure entamée, il y a quatre ans : « La veuve de Michel Renaud, l’un des journalistes avait en effet déposé plainte pour abus de confiance : les recettes n’étant pas reversées aux victimes. » Ivo Magalhaes ne veut pas d’argent. « Il demande 1 € symbolique, sur le principe parce que l’on agit pas ainsi. »
Lundi 8 juin, un procès va s’ouvrir au Tribunal de Grande Instance de Clermont-Ferrand, celui du vaccin Méningitec. Pas moins de 150 familles seront représentées afin de demander réparation suite à la vaccination de leurs enfants. Certains ont eu des séquelles après avoir été vaccinés.
L’application StopCovid entre en application ce mardi 2 juin, au grand dam du médiatique avocat rémois Emmanuel Ludot qui avait dit tout le mal qu’il en pensait dans L’Union le mois dernier, au point de saisir la Commission nationale de l’informatique et des libertés (CNIL) en invoquant l’« atteinte au secret médical et professionnel ».
Lire l'e-mail envoyé par Nicolas DUPONT-AIGNAN (PDF) - Voir la question (PDF)
M. Nicolas Dupont-Aignan appelle l'attention de M. le Ministre des Solidarités et de la Santé sur le non-respect des clauses de l'accord Franco-Chinois du 9 octobre 2004 relatif à la prévention et à la lutte contre les maladies infectieuses émergentes. En effet, il est permis de s'interroger sur les raisons pour lesquelles la République Populaire de Chine n'a pas joué le jeu sur la question du dépôt des brevets d'une part et des conditions de sécurité du laboratoire P4 de Wuhan d'autre part. Concernant les brevets, la Chine a déposé en son nom, dès février 2020, 5 brevets relatifs au Covid-19 alors qu'il était prévu que leur dépôt devait être en nombres équilibrés entre la Chine et la France. Pourquoi la France n'a-t-elle pas été associée au dépôt de ces brevets ? Par ailleurs, cet accord Franco-Chinois prévoit (au 2.3 de l'article 12) que la conservation des souches détenues par le laboratoire P4 de l'Institut de virologie de Wuhan, fasse l'objet d'une surveillance particulièrement approfondie par l'octroi des normes internationales ISO CEI 17025 et ISO 9001. Or, il est impossible de savoir si ce laboratoire était bien détenteur de ces normes, alors que l'accord prévoit des audits de conformités réguliers. C'est pourquoi il souhaiterait savoir si les normes ISO ont été respectées par ce laboratoire et quel est son degré de sécurité ? Enfin, à la lumière de ces dysfonctionnements, il souhaiterait que le Gouvernement français indique clairement quel est l'état de la coopération Franco-Chinoise relative à la prévention et à la lutte contre les maladies infectieuses émergentes ?
27 boulevard Foch Reims
51100 REIMS
Tél : 03 26 77 19 60
Fax : 03 26 77 19 61
Notre page Facebook